Pour le reste, il paraît que c'est une recomposition du "Portrait
de Dorian Gray" de Oscar Wilde... Enfin, vous lirez vous même...
car moi je me suis arrêté au chapitre 4 page 71... Et encore
en me forçant ! Ce roman est insipide, ennuyeux, et s'étire
en longueurs interminables. Le style est lourd et pénible, chargé
de longues phrases alambiquées, tortueuses et mal construites.
L'auteur n'est pas capable de tenir une idée plus de 20 lignes,
sans faire des digressions oiseuses, de longs retours en arrière
sensés expliquer une situation, souligner un personnage, etc.
Mais W. Self oublie que dans le mot "flash-back" il y aussi
le terme "flash" ! Ses personnages n'ont aucune profondeur
et leur changement de caractère (pour autant qu'ils en aient
!) est le contraire du subtil. Ainsi, Dorian passe du jeune innocent
au prédateur carnassier en 2-3 pages ; il rejette Wotton et pourtant
se retrouve son amant 15 lignes plus loin. Bref ce n'est pas un livre
sur la jet-set cacaïnée, mais un roman écrit sous
l'emprise de la poudre... Ca ne réussi pas à tout le monde
!
CHIANT
ET INUTILE.